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01 EOS 400D avec diffuseur pour flash interne boite de pellicule
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Premier choix : La boîte de pellicule. Celle-ci étant plus large que la balle de ping pong, elle passe sans problème sur le flash interne. Comme les parois sont un peu trop transparentes, j'ai "renforcé" celles-ci avec une feuille de papier roulée à l'intérieur, pour mieux adoucir la lumière. -
02 EOS 400D avec diffuseur pour flash interne papier
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Ce modèle de diffuseur, fait avec une feuille en papier, a été réalisé à partir des explications données sur ce forum : Forum Panasonic FZ Démonstration en fin de présentation. -
03 Flash externe Helios
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Lorsque mon père m'a "légué" son ancien reflex argentique, il m'a également laissé un bon vieux flash semi-automatique Helios, qui a le mérite de fonctionner encore très bien. Pourquoi s'en priver? Mais l'utilisation sans diffuseur sur des plans rapprochés ou en macro pose quelques problèmes... Il faut donc là aussi trouver un diffuseur adéquat. -
04 Diffuseur pour flash externe
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Pourquoi réinventer la roue? Sur le même principe que le diffuseur de flash interne papier, j'ai fait ce modèle, avec une partie bien rallongée juste après la flèche de fixation, pour pouvoir passer la feuille au travers de la charnière du flash. -
05 EOS 400D avec flash externe et diffuseur
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Le diffuseur installé sur le flash... -
06 EOS 400D avec flash externe et diffuseur 2
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07 Flash interne sans diffuseur
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Passons maintenant aux tests. Les photos présentées ici n'ont aucun intérêt artistique. Elles ne sont là que pour illustrer les avantages et inconvénients des diffuseurs présentés avant. Flash interne, sans diffuseur : Les ombres sont très nettes, la lumière un peu trop violente. Et surtout, nous avons une belle ombre portée de l'objectif sur le bas de la photo. Les diffuseurs semblent donc bien nécessaires... -
08 Flash interne avec diffuseur boite de pellicule
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En ajoutant la boîte de pellicule renforcée au papier sur le flash interne, on obtient tout de suite une lumière plus douce, bien que ça ne soit pas encore parfait. Par contre, l'ombre portée, elle, a entièrement disparue, et ça, c'est un très bon point! Conclusion : La boîte de pellicule est un bon "investissement", avec un défaut toutefois : C'est de plus en plus difficile d'en trouver de nos jours... -
09 Flash interne avec diffuseur feuille
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Passons maintenant au diffuseur papier, toujours sur le flash interne. Toujours pas d'ombre portée, pour commencer. Ensuite, la lumière est encore un peu plus douce qu'avec la boîte de pellicule, les ombres bien moins prononcées. Il semblerait que ce soit la feuille de papier qui gagne dans les tests pour le flash interne. Toutefois, celle-ci n'est pas facile à transporter sans l'abîmer, et plus compliquée à installer sur l'appareil. Le choix entre la boîte de pellicule et la feuille de papier se fera donc sûrement en fonction des besoins pratiques de chaque situation. -
10 Flash externe direct sans diffuseur
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Passons maintenant au flash externe : Plein pot sur le sujet, sans diffuseur... Aïe aïe aïe! Je crois que cela se passe de commentaires! -
11 Flash externe indirect sans diffuseur
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Toujours sans diffuseur, en indirect, orienté vers le plafond, on ne voit carrément plus rien. Le flash externe, sans diffuseur, pour des plans rapprochés, il faut oublier! -
12 Flash externe direct avec diffuseur
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Avec le diffuseur papier, le résultat est tout de suite plus intéressant. On obtient une lumière assez douce, mais avec des ombres encore un petit peu trop marquées par endroit. Cela reste cependant très acceptable par rapport au mode "sans diffuseur". Un point très intéressant : La grande puissance du flash externe permet ici de beaucoup fermer l'objectif (ici : 1/200s - f/16), ce qui permet de gagner considérablement en profondeur de champ, tout en restant sur une faible sensibilité (ISO-100, ici). -
13 Flash externe indirect avec diffuseur
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Enfin, toujours avec le diffuseur, en indirect orienté vers le plafond, on est obligé de rouvrir l'objectif (ici : 1/60s - F/5), toujours à ISO-100, mais avec une lumière mieux répartie qu'en flash direct. Le choix entre l'exposition directe ou indirecte du flash sera donc déterminé par l'importance de la profondeur de champ par rapport au besoin de répartition de la lumière. Conclusion de l'ensemble du test : Chaque diffuseur présente ses intérêts selon les situations. Ils sont donc tous bon à exploiter. Cependant, les versions papiers seront plutôt privilégiées pour des utilisations en studio ou chez soi, car les transporter risque de chiffonner le papier, ce qui pourrait altérer la qualité d'éclairage. La boîte de pellicule, elle, remporte haut la main la palme du diffuseur de voyage. Solide, quasiment incassable, et avec un bon rendu, elle sera surement le diffuseur le plus utilisé.
